Mamafrica

                          Après des négociations tumultueuses... et une aide d'Alexandra qui nous à permis de nous procurer de l'argent... nous partons vers le pays Dogon...le FAMEUX Pays Dogon avec Baba notre guide plutôt cool de prime abord !

                         Après 3h de taxi brousse dont 1h sur une piste défoncée (aie les fesses!) nous voilà au pied de la falaise du Pays Dogon... notre arrivée tardive nous permettra de découvrir le paysage demain !

                       Kani Komboli première ville du Pays Dogon se dévoile au petit jour après une nuit sur un toit réveillés par le braiment des ânes et le cocorico des coqs sans oublier l'APPEL de ce putain de muezzin ! pendant trois jours nous parcourrons à pieds le tiers sud, apprenant les origines, les us et coutumes de cette tribu venue du Sénégal...et bu les bières les plus chère du Mali

                        Après ces 4 jours de marche, les lèvres bien brulées par le soleil, nous quittons cet endroit reculé pour d'autres aventures ... en charrette !... enfin sur les 12 premiers km ... de pistes dans le sable !

                     Le Pays Dogon s'efface doucement alors que la poussière rouge de la piste en latérite dessine les portes du Burkina Faso ....

            Pour quitter Bamako pour rejoindre Mopti pas énorme de solution soit la route (10h de bus) soit le bateau (3 jours de navigation)...

           le choix est vite fait... se sera le Niger ! en route pour trois jours de Nav ! Mais comme on dit ici on fonctionne à l'heure CFA alors 3 ou quatre jours c'est pareil... 24h embourber dans un banc de sable ! heureusement nous faisons la connaissance d'un anglais, un américain et d'un australien avec qui le feeling et les bières vont bien !

          Le long de ce fleuve nous commençons à voir l'artchitecture particulière du Nord du Mali en Banco : genre de torchis avec des briques... Le soir de notre arrivée à Mopti nous organisons notre départ le lendemain en pirogue jusqu'à Djénné...

         Après trois jours de navigation assez inconfortable autant pour nos petites fesses que nos intestins nous parvenons à Djénné... ville classée au patrimoine de l'UNESCO avec la plus grande mosquée du monde en Banco ! impressionant !!!

        Notre âme de négociateur nous entraine à organiser notre trip dans le pays Dogon ...mais aujourd'hui le problème est que nous ne pouvons nous procurer de l'argent ! arriverons nous à nos fins ?

                     Après avoir usé nos fesses dans le camion nous voilà pour une bonne pause à Bamako.

                   Après deux petits problèmes techniques sur le camion nous pensons qu'il serait sage de le vendre... à un prix résonnable of course !

                   Pour ne pas perdre trop de temps et d'argent avec d'éventuelles réparations nous avons réussi à le vendre un jeudi ! le temps d'acheter une malle pour y ranger : les bodyboard, combards, et autre bordel présents dans le camion ainsi que deux moustiquaires et deux nattes... les Caoutchou se transforme en Cuirs !

                  La vie Bamakoise est bruyante : klaxon de voiture, mobilettes mal réglées ... mais aussi polluée : gaz d'échappement, sable, poussière... et une impressionnante présence de moustiques ! Malgré cela l'accueil de nos hotes franco-germano-espagnol nous permet de raccroché un temps soit peu avec la vie européenne !

               Après avoir écumé quelques maquis, les marchés, musée, et restaurant à 0.90 euro le repas... Nos jambes nous poussent à repartir direction Mopti ...

                 Enfin  des sourirs !!!!!!!!!!!!!!

Le Mali est très accueillant.... des tonnes de dents blanches sur des visages noirs et des vêtements colorés !

Notre première étapes à Nioro, ville frontalière, nous à permis de rencontrer Nathalia, Nicole, Brigitte et Mamadou qui rapportent des informations concernants les immigrés clandestins candidats vers l'Europe... Nous passons ensemble une bonne soirée avec des bieres fraiches dont nous revions depuis plus de 2500km !!! Cette soirée est l'ocasion de nous faire baptiser, chaque etranger qui entre au mali se fait baptiser et recoit un nom Malien au hasard de sa rencontre. Alex s'appel donc Boubou Dialo et Manu Amadi Diakité, nous sommes tout les 2 des Peuls ce qui nous rend plus ou moins en discorde avec les forgerons. On a deja eu de nombreuses occasions d'utiliser notre nouvelle identitée qui donne sourir le sourir à tout les Maliens...

les formalités de douanes, police, gendarmerie et assurance étant réglées... nous continuuons notre route vers Nara... une petite Halte à Didieni pour passer la nuit ...

Apres 400 km d'un beau goudron nous attaquons maintenant une belle piste en maquelite rouge .... pas la peine de vous faire un dessin du nuage de poussière derrière le camion .... et quelle belle surprise en arrivant Nara de savoir que toute cette poussière avait envahi clandestinement tout le camion (vêtement, lit, vaisselle...) du jaune originel nous voila dans le rouge vif !

Mais le plus rigolo est de tomber en panne d'essence au milieu du village !!!!!!  Après avoir réamorcer la pompe à gazoil, rencontre du Maire et de Cheik notre contact de l'association Quimperlé Nara... nous deposons les cartons de cahiers dans les locaux et une tite douche !

Le lendemain Cheik fête le bateme de son fils, nous sommes de la fête et c'est l'occasion de vivre une fête traditionnelle ou ce mele famille amis et collegues... l'ambiane est bonne et decrontracter, nous avons l'occasion de profiter du franc parler des Maliens qui ne machent pas leurs mots paler de leurs pays (ex Soudan et Mali) les uns s'interpelant "Soudanais" et las autres "Maliens" ( conflit de generation pré et post colonialisme ). le montons est tué devant nous le matin et manger le soir a l'arrivée de lmodeste fraicheur du soir, 35° au lieu de 40°...

le lendemain, apres avoir été visité le marcher au bestiaux nous prenons la route pour Bamako et pour un grand changement de cap, nous vendons le camion pour continuer notre periple à pied, en Bateau et en avion ... les negociations vont bon train !!!

                       Nous quittons donc les sports nautiques pour rentrer dans la phase sportive de la traversée du désert... celui-ci s'étendant du sud d'Agadir à la frontière du Mali ! de nombreuses heures de routes chaudes en prévision !

                       Il nous à fallu 4 jours pour traverser le sud du Maroc, les montagnes sont derrière nous ... seul un vastes plateau rocailleux , quelques pécheurs dans des abris de fortune, des campements militaires , le soleil et la chaleur ! mais le camion ne bronche pas ! on trace la route sur du bitume de pas trop mauvaise qualité !

                      La frontière avec la Mauritanie est devant nous dernière soirée au Maroc on termine nos bières et le vin qu'il nous restait car l'entrée avec de l'alcool en Mauritanie est prohibée !

                      Après plus de 5 heures de formalité à la frontière nous voilà dans le No Man Land... de la piste dans le sable et la caillasse pendant 5km... nous rentrons en Mauritanie après qq bakchich... les dunes de sables apparaissent franchement et la température extérieure augmente avec elles ! 45°C relevé au max dans le camion fenêtres ouvertes en route ! les provisions d'eau s'amenuisent de jour en jour ! la situation politique et l'accueil des gens nous pousse à rouler toute la journée sur une route goudronnée à 90% !

                     4 jours pour traverser ce pays et ses dunes et enfin oui vraiment enfin la frontière du Mali est là juste en face !

                     Le désert c'est bien mais plus ça craint !

Nous restons quelques jours dans la zoner au dessus d'Agadir, bien connue pour ses vagues, pour surfer quelques jours... pas de grosses houles mais pourtant de bonnes sessions un peu partout. Une session le matin de 2h et une de l'apem 3h chaque jours pour bien en profiter.

La houle diminuant et le calendrier avancant nous commencons notre descente vers la Mauritanie.

Le passage de la montagne à la l'océan est radical ! les paysages, la population est très différentes ... de plus nous arrivons avec un tempête de sable terrible ! les vagues seront elles au rdv ???

après avoir longée la cote vers le nord depuis Agadir nous nous arrêtons à Imssouane ville isolée mais riche en swell!

la houle est au rdv ... il faut attendre la marée basse alors nous profitons de discuter avec les premiers français que nous trouvons depuis notre arrivée au Maroc ... les prochains risque d'être bien cool !

2 jours à 6h de surf par jour... les bras et les épaules manifestes le manque d'entraînement ! la tempête de sable est terminée mais la pluie à repris le dessus... on se croirai en Bretagne : vent, crachin, nuage gris , 18°C... en plus plus de vagues !

direction un peu plus au sud ... on se pose au camping pour faire les lessives, douche , vrai toilettes ... on espère que la houle va revenir !

Mohamed notre guide azccompagne de son fidel cuisinier Hassan nous emmene pendant 5 jours a travers la montagne : villages berberes, cascades, authenticite et calme sont les maitres mots... les photo parleront d elles meme quand le debit sera plus rapide

note pour les impatients : les hommes presses sont deja morts ... dixit Mohamed... alors rappelez vous qu ici c l afrique et le debit ultra lent.

le debit est arrivé ... voilà les photos :

   La tranquilite de la cascade va vite se transformer en un brouhaha Marrakechien

  Le concert de percu c est transformer en un concerto pour pour taxi et klaxon de mobilettes....
les vendeurs de tapis et autres commencent a etre de plus en plus autoritaires heureusement que le spectacle nocturne de la place jama el fna nous ensorcele : musiciens, dresseur de singe, charmeurs de cobra ...

Mais tout se vacarme et notre camping parking nous poussent a quitter la ville pour se mettre quelques jours au vert dans la vallee du jbel toubkal...

                 Sur la route qui nous mene à Marrakech               nous faisons une halte a Ouzoud. La route qui nous amène est tout simplement grandiose, les montagnes changent sans arrêt de couleur du rose au rouge et du jaune au vert !!! tout simplement  incroyable. La route est longue; le camion se traine parfois a 25km/h dans les pentes les plus raides mais le spectacle est au rendez vous.

      L'arrivee a Ouzoud est un peu speciale, le chef du camping semble un peu effrayer de notre venu (nous saurons plus tard qu'un énorme orage a tout  emporter dans sont  camping quelques semaines plus tôt)

Visite de la cascade; 110m de haut,      soiree tres locale dans une guitoune tenu  par un groupe de jeune qui assure le concert de percussion a la fin du repas.